Après de discours de Sarko, la colère est restée intacte chez les enseignants-chercheurs. Ils sont descendus une nouvelle fois, aujourd’hui, dans la rue.
Des manifestations un partout en France comme a Paris, entre 15.000 personnes, selon la police, et 30.000, selon les organisateurs ; à Marseille, 5000 personnes selon les organisateurs, 2000 selon la police ont manifesté aux cris, entre autres, de "Sarkozy, Pécresse, Darcos démission" ou "Union, action, insurrection". D’autres manifestations à Amiens, Boulogne-sur-Mer, Bordeaux, Calais, Dijon, Dunkerque, Le Havre, Lille, Lyon, Nice, Orléans, Reims, Rouen, Strasbourg, Toulouse et Tours.
Cette journée était organisée à l'appel de la coordination nationale des universités et d'une intersyndicale avec pour objectifs communs le retrait de la réforme du statut des universitaires, celle de la formation des enseignants, le rétablissement des postes supprimés dans le supérieur et le refus du démantèlement des grands organismes de recherche.
Le petit Nicolas a déclaré Mercredi soir qu’il ne changerait rien dans les réformes concernant les Universités et qu’il ne se laisserait pas allé à la facilité de ses prédécesseurs.
Pour traduire cette jolie phrase : Rien à foutre de vos avis, je fais ce que je veux. Si vous n’êtes pas content, c’est pareil.
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