Le bal des faux-culs

Ségolène Royal s'est rendue samedi en Guadeloupe pour assister aux obsèques du syndicaliste tué en début de semaine et demander que l'État trouve des "solutions" à la crise sur place (On a déjà entendu çà quelque part !).

Elle a déclaré qu’elle était venue en amie des peuples antillais et guyanais d'abord pour rendre hommage à un syndicaliste tué. (Mon œil, ouais !)

Une cérémonie religieuse en hommage à Jacques Bino doit avoir lieu dimanche après-midi. "Ayez un peu de respect, a-t-elle dit à l'adresse des journalistes. Il y a eu ici un sentiment de solitude, un sentiment d'isolement, le sentiment que l'Etat a abandonné ces territoires". (Elle ne manque pas d’air ! Lorsque la gauche était au gouvernement, elle les avait laissés dans la merde comme les autres !)

Elle a déclaré qu’elle était également là pour marquer la présence de toutes celles et ceux qui veulent que la justice soit là pour que la paix revienne. (Bien sur !)

Elle a précisé qu'elle avait été invitée par le maire de Pointe-à-Pitre Jacques Bangou, à titre personnel et non pour représenter le PS. (C’est ça, continue à nous prendre pour des cons !)

Ségolène Royal doit rester jusqu'à mardi soir. Deux autres anciens candidats à la présidentielle, l'altermondialiste José Bové (Non non José, ce n’est pas une manif anti-OGM) et Olivier Besancenot sont également sur place (Encore du courrier qui va arriver en retard).

Pour reprendre la phrase d’un autre politicien, qui n’est pas encore venu :

« Un pour tous … tous pourris » (Jean-Marie Le Pen)