La situation en Guadeloupe, cinquième semaine d'une grève s’est enflammée aujourd’hui après une nuit de désordres et de violences. L'aéroport de Pointe-à-Pitre a été complètement fermé depuis ce matin. Les casseurs ont pris le relais des manifestants (barrages en feu à Pointe-à-Pitre, devantures de magasins éventrées, véhicules incendiés). Il y a eu également des affrontements entre groupes de jeunes et police.
Les grèves et manifestations d’accord, mais commencer à tout détruire et balancer des cocktails Molotov sur les flics, faut pas déconner. Au lieu de leur balancer des lacrymaux et des grenades aveuglantes, ils feraient mieux de tirer dans le tas. Apres une dizaine de morts, ils se calmeront un peu.
Nicolas Sarkozy recevra jeudi 19 février à l'Elysée des élus de tous les départements d'Outre-mer, prenant ainsi sa première initiative directe en presque un mois de crise antillaise.
(Y vont nous l’fatiguer notre petit Nico)
Yves Jego a déclaré : « Mais ne nous méprenons pas : finir la grève, ce n'est pas en finir avec la crise", qui est à la fois "économique", "structurelle" et "existentielle". (Pour dire des conneries pareilles, c’était pas la peine de l’ouvrir)
Une délégation du Parti socialiste a été voir ce qui passait (bonjour les élections) là-bas il ya une semaine. Olivier Besancenot doit se rendre en Guadeloupe, puis en Martinique, pour apporter le "soutien" du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à la mobilisation. (Et notre courrier ?)
Le corps n’est même pas froid que les charognes veulent déjà lui fouiller les poches. Pas très joli tout ça !
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